La belle mort (Mathieu Bablet)

La belle mort surfe sur la vague post-apocalyptique, avec un petit côté insectueusement délirant. On y retrouve les ingrédients classiques y sont : l’isolation, la survie, le mouvement, la fuite, la peur, l’inconnu, les conflits, les questionnements,… L’essentiel est suivi au niveau d’un groupe de trois hommes qui parcourent des paysages urbains abandonnés, à moitié pour fuir la cause de la destruction, à moitié pour rechercher… Autre chose, quelque chose, une lueur d’espoir… Et un final tonitruant. L’on en sait guère plus que ce que les trois personnages apprennent par eux-mêmes, cela laisse énormément de portes ouvertes. À déconseiller si on aime les réponses, à lire si on aime les questions laissées ouvertes.

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